Grecs, Italiens, Anglais, Allemands, Hollandais, Français (et sûrement d'autres) ont ainsi gravé dans le marbre leur passage sur terre éphémère, l’espérant à Sounion quasi éternel.
Mieux visibles avec le soleil rasant d'Ouest ces tags et autres graffitis sont bien le reflet de la bêtise de l'Homme qui souhaite ardemment laisser sa trace sur un monument multi millénaire, espérant ainsi passer à la postérité.
Le pire c'est que ça semble fonctionner et que des photographes "immortalisent" ces dégradations.
Lequel est le plus bête, Homo Graffitus ou Homo Photographicus ?